« Demeures » est un testament de mon vivant pour mon vivant, pour survivre dans le sacré au sein du sanctuaire, dans l'absurdité sourde de cette agitation déssourcée du monde.
Quelques fils fins me tiennent encore dans le « faire » de l'acte du grand rouage.
En partant du postulat que l'homme n'est qu'un chagrin divin, en tant que larme de Dieu, j'expérimente l'eau des alchimies et des mariages subtils depuis d'immémoriales sentences internes, je brûle du feu créateur.
Cet état m'a déposé - roué - et m'a appris à soutenir l'éclat de la loyauté et de la rigueur de l'Amour pur, le Silence où tout se joue dans ce basculement des chants sur champs des possibles.
Cette série est la quatrième importance géométrique de mon œuvre.